Repère de Sergio Leone

Ce repère se situe juste entre East Houston Street et le prolongement de Grand Street .
Il est situé dans la partie mal famé de Little Italy .Ce repère est fréquenté par tous les Italiens bossant pour Sergio Leone ,qui ,est le maitre incontesté de tout Little Italy .
Il a sous ses ordres une bonne cinquantaine d'Italiens ,tous prêts à tuer pour leur Boss .
A ses côtés : son bras droit nommé "Il Terroria" et bien connu sous d'autres surnoms .

Les Italiens sont plus qu'impliqués dans les guerres de gang et surtout de territoires .
En effet ,ils désirent depuis longtemps prendre le controle du pont : Williamsburg Bridge ,très convoité par les Triades et Yakuzas .
Ce pont donne un accès direct sur Brooklyn .
Les Italiens veulent auss stopper l'extension de Chinatown . En effet , le quartier récupère de jour en jour un peu plus de territoire de Little Italy sous le nez des Italiens .
Le trio Italiens-Yakuza-Triade ne peut pas faire bon ménage . Il faut donc une fin à tous cela , un vainqueur .
De plus , les Coréens rentrent peu à peu dans le conflit .

Les Italiens attendent des renforts de Brooklyn .
Cela leur donnera l'avantage pour la prochaine guerre de gang .

Quoi qu'il en soit , ce repère rassemble les plus gros mafieux de Little Italy .

Sergio Leone venait de rentrer de l'émeutr au pont afin de chercher des renforts . Les Triades étaient décidément plus dangereux qu'on ne pouvait le penser jusqu'à maintenant .
Mais Sergio avait énormément de ressources . S'il le voulait ,il pouvait faire venir des renforts de Queens . Ce n'était pas un simple gang d'une soixantaine de personnes qui allait lui faire peur . De plus ,il avait les armes à volonté et ceci par l'intermédiaire d'un de ses hommes qui allait régulièrement faire le plein d'armes au Bronx dans l'entrepôt ainsi qu'au port de Chelsea .C'était beaucoup plus direct là-bas et moins cher .
Sergio s'appretait à rejoindre ses effectifs dans la Zone B pour relancer l'affront au pont .

**Il me reste cet homme si dévoué et si suicidaire sur les lieux . Comment s'appelle ce nouveau déjà ?... Rikki il me semble .**

Sergio en avait assez de moisir dans ce repère lui et ses hommes . Il fallait d'urgence qu'il rapplique au pont aider les quelques Italiens qui continuaient de lutter contre l'envahisseur .Les Triades étaient beaucoup plus nombreux et mieux armés . Il était donc beaucoup plus dur de rivaliser avec eux .
Mais Sergio allait mener à bon terme cette guerre de gang . Il sortit du repère puis prit sa bagnole .Il fit signe aux autres Italiens de faire de même . Ils montèrent dans leur voiture respective et suivirent leur Boss direction le pont .
A pied ,ils n'avaient aucune chance mais en voiture oui . Ils allaient balayer la zone et chasser par la même occasion tous les Triades ...

Sergio revint de cette tuerie au Williamsburg Bridge .
A présent , une impasse de camions était située à l'entrée du pont pour veiller aux intrus qui oseraient passer .
Quant aux touristes ,ils ne pouvaient non plus passer ,sous quoi ils seraient automatiquement fusillés .
Cette anarchie allait se faire connaitre par les autorités qui ne tarderaient surement à rappliquer . Mais tout était prévu si ce genre de situation arriverait .
Des snipers était camouflés dans chaque camion obstruant la voie .
Une mitrailleuse était caché sur le flanc droit du pont ,là ou se trouvait le poste de contrôle des Italiens ...

Riki se demanda ce qu'il allait bien pouvoir faire durant les jours à venir .
Ses derniers jours , il était resté assez distant avec son Boss . Il est vrai que la tuerie au Williamsburg Bridge avait été un véritable bouffe-temps pour Sergio mais à présent que tout été arrangé , il pouvait peut-etre confier de temps à autre des missions à son partenaire Riki ...

L'italien s'ennuyait à mourir dans le quartier , il ne tenait qu'à une chose : tuer quelques Triades et Yakuzas pour passer le temps ...

Sergio porta son attention sur Riki ; il semblait plutôt las ces derniers temps et il comptait bien lui confier une mission .

Il l'appela de sa voix habituelle :

Riki , viens ici , j'ai à te parler !
Je veux que tu ailles voir ce que mijotent les Gangstas .
Voilà maintenant plus de 8 mois qu'ils ne se sont plus manifestés sur notre territoire . J'aimerai savoir ce qu'il se passe là-bas .
Quant aux Triades et Yakuzas , j'en fais mon affaire personnelle .

L'Italien un léger rictus , il avait des tas de projets pour ce qui concernait les Asiatiques ...

Riki vint à l'appel de son Boss et acquiesca lorsque celui-ci lui ordonna d'aller espionner les Gangstas .

Euh ... Dans quel quartier exactement dois-je m'infiltrer ?
Harlem ? Morningside ?
Il est vrai que les Gangstas restent relativement calmes en ce moment .
Je m'en vais m'en charger moi-même . J'espère seulement que vous me céderez le matériel necessaire pour moi et les autres italiens .
Nous n'avons que de vieux 9mm inoffensifs .
Ils nous faut des armes plus puissantes . Vous devriez économiser afin d'agrandir notre budget ....

Sergio Leone reprit alors d'un ton plus engagé :

Très bien , je te fournirai des armes .

Mon argent est illimité et mon pouvoir immense . Nous réduirons ces vermines à l'état de poussière .

Tu dirigeras nombre de nos hommes alors je compte sur toi . Ne me décois pas . Enfin , j'ai confiance en toi .

Je ne veux pas que tu les attaques directement mais que tu analyses combien ils sont , quels moyens ils ont .

Une fois que tu auras ces informations , appelle-moi sur le numéro du repère ; j'y serai .

Je te donnerai alors l'autorisation ou non d'attaquer les Gangstas .
Il faut savoir que vous serez une cinquantaine environ , voir plus .

Je veux que vous reveniez à cinquante , c'est à dire que je ne veux aucune perte .

Nous avons déjà assez perdu d'hommes lors de l'attaque au Williamsburg Bridge .

Tuez-le plus de Gangstas que vous le pourrez . Enfin , si vous devez attaquer .
S'ils sont plus de soixante , je pense qu'il sera judicieux de ne pas lancer l'attaque ....

Sergio Leone prit alors sa veste puis dit à Riki :

Quant à moi , je m'occupe personnellement de ces chinois et japonais ...

Marco arriva devant la porte du Q.G des italiens.
Son frère lui avait dit: "Si tu trouves pas de boulut saint, vas sonner à leur porte, tu feras comme dans le passé...". C'est ce que Marco voulait faire, il avait sa valise sous la main, sa veste sur ses épaules et dans sa main gauche le bout de papier qui lui avait indiquer le chemin.

Ca doit être ici, je pense pas me faire abuser par ma mégarde.

**Pas la peine de faire le mec bien éduqué ,y a pas de jolie fille dans le coin...Garde ton charme pour plus tard Marco!**

Il se mit à sourire. Il posa sa valise au sol et vida son chargeur dans ses poches. Il rangea son 9mm dans son étui et frappa à la porte du repère. En attendant qu'on lui ouvre la porte, il retira ses lunettes qu'il mit dans la poche de sa chemise et il s'appuya sur le mur.

Sergio qui s'apprêtait à partir vit alors cet étrange homme arrivé d'on ne sait ou .
Il le fixa longuement puis le dévisagea par la même occasion . Il finit par dire :

Puis-je savoir ce que tu fais ici ? Je dois m'en aller pour une affaire urgente , si tu dois me dire quelque chose ou me parler en privé , fais-le vite .
Je n'ai pas tout mon temps ...

En effet , plus l'heure tournait , plus l'avenir de Little Italy était compromis . Les Yakuzas-Triades devaient surement chacun de leur côté prévoir un mauvais coup .
Cela se sentait ... Voilà plus d'un mois qu'il ne s'était rien passé . Cela était vraiment mauvais signe pour les jours à venir .
Sergio attendit alors une réponse de l'individu .

Il retira les écouteurs de son oreille et coupa son I-pod. Il sourit au mafieu qui lui faisait face et dit simplement en restant le plus cool possible.

On m'a dit de venir ici, je veux parler au Boss. Mon arrivée pourrait peut-être l’intéresser. Je cherche du boulot, je suis travailleur et je suis un bon dealer. Si je dois faire mes preuves avant de pouvoir lui parler, je pourrai vous aider si vous le désirez…

Il remonta sa veste au niveau de son épaule pour montrer son arme.

Vous voyez, je ne suis pas un amateur, j’ai pas peur de mourir, j’ai rien n’as perdre. Tout à gagner.

Sergio Leone fut alors terriblement vexé .

Es-ce le fait que je suis plutot de petite taille qui fait que je ressemble à un simple homme ..?
A moins que ce soit mon costard ... C'est vrai qu'aujourd'hui , il semble un peu délavé .
D'après ce que j'ai compris , tu cherches le Boss de Little Italy .
Bon , eh bien assez rigolé . Il est devant toi .
Qu'as-tu de si sérieux à me faire part .
Tu as interêt à te dépécher . Je ne suis pas le type d'homme qui bavasse durant des heures , et comme je te l'ai dit j'ai des tas de choses à faire ...

Le Rital semblait véritablement offusqué par les dires de ce mafieux .

**Il ne sait pas à qui il a affaire ... **

Désolé mais je suis nouveau ici moi. Que je ne vous connaisse pas personnellement ou physiquement ne m’étonne pas. Comment pouvez-vous croire que ce soit votre accoutrement qui fasse que je ne sache pas qui vous êtes… Enfin bref, si vous êtes le chef ici c’est donc à vous que je dois m’adresser. Je viens ici pour bosser avec vous. Rien de moins. Enfin, si vous n’avez pas besoin de quelqu’un pour vos affaires, je peux encore faire mon deal seul…

Il leva ses yeux aux ciels, il ne pensait pas que le seul vrai italien qui avait de la valeur dans la région puisse se vexer autant. Mais se qui l’énervait le plus, même si il avait une patience incroyable était que l’homme qui était en face de lui ne se rappelait déjà plus de ce qu’il venait de dire.

Je suis donc un ancien dealer, je viens ici pour vous aidez car j’ai besoin d’un boulot. Je n’ai aucune résistance contre l’action. Donc, si vous avez besoin de moi, dites le moi maintenant. Je peux déjà vous être utile. Vous partez en raid je suppose ? Si vous voulez bien de moi, pour vous montrer de quoi je suis capable, je suis prêt à vous suivre.

Sergio fixa longuement ce qui lui semblait être une tête dure .

Très bien , sois de notre côté et intègre notre grande famille que forme les Italiens .
Ici , nul besoin des armes , notre belle gueule nous suffit . Sache avant tout que les Asiatiques sont tes pires ennemis . Dès que tu en verras un , il faudra l'éliminer au plus vite .
Ils doublent de nombre tous les jours à croire qu'ils arrivent du continent par masse .
Chinatown s'agrandit et s'étend de plus en plus sur Little Italy .
Il faut remédier à cela au plus vite et c'est donc la raison de mon raid organisé en direction de Chinatown .
Bientôt , tu feras connaissance du Riki .

C'est un Italien assez expérimenté ; il est assez longtemps dans le boulot et il commence à connaitre le métier . J'interviens toujours avec lui à l'habitude mais cette fois , je le laisse en solo pour une mission à Harlem : je vois savoir ce que mijotent les Gangstas .
Cela fait un bout de temps qu'ils ne sont pas venus chez nous .
J'aimerai savoir ce qu'ils font exactement . Si tu veux , tu peux accompagner le bon vieux Riki ... a moins que tu veuilles rester à mes côtés ...

Je préfère vous suivre et m’occuper de ce qui nous regarde prioritairement. Harlem si je comprend bien, est juste part curiosité alors que les jaunes sont une véritable plaie à notre famille si je comprend bien. D’abord nous défendre puis ensuite la curiosité. C’est une tactique qui a fait ses preuves.
Par contre, je ne pense pas que ma seule belle gueule tue des asiatiques.

Il sortit son 9 mm et mit sa main dans sa poche, il sortit les balles de son chargeur et le remplit et rangea dans son étuis. Puis il regarda Sergio et lui demanda :

Avant de te suivre, ou je peut déposer ma valise ? J’ai plus de chez moi, mon frère ma viré de chez lui…

Son regard se baissa vers ses pieds pour indiquer sa valise, petite mais surement plein de son matos de dealer .

Sergio eut alors un léger rictus :

Tu n'as qu'à les poser au rez-de chaussée au pied des escaliers .
Pedro , le domestique , la montera dans ta chambre .
Le repère comprend une vingtaine de chambres qui sont pour la plupart prétées à nos hommes .
Parcontre , il te faudra trouver un foyer , nous ne pourrons pas te garder trop longtemps , à moins que tu veuilles partager la chambre avec quelqu'un ...

Sergio Leone n'avait pas les moyens de racheter des nouveaux locaux , ni même de nouvelles chambres .
Tout le budjet partait dans les armes à feu , balles et protections .
Il fallait avant assurer la sécurité des Italiens à Little Italy .
C'était la priorité .

Le Boss s'installa dans sa Porshe en attendant que son partenaire le rejoigne .

**Je me demande si cet Italien vaut vraiment quelque chose sur le terrain ... **

Ok patron, pour me loger, ne vous inquiétez pas. Dans deux jours je n’aurais plus besoin de vos chambres.

Il prit sa valise et la déposa aux pieds des escaliers, il revint et monta dans la voiture après avoir enfilé son gilet pare-balles.

Je voulais savoir, il y a beaucoup de client niveau drogue à Little italy ?

Il mit sa ceinture et observait l’intérieur haute classe que possédait le chef des mafieux italiens. Il admirait de derrière ses lunettes la beauté du cuir et de tous le reste. Dehors, il faisait bien froid, la météo ne s’était pas trompée. Cette semaine il neigeait bien plus que ne l’aurait put croire Marco.

C’est rare de voir en Italie de la neige tomber, ca arrive de trois jours part ans…Mais ici, si je comprend bien, c’est tout l’inverse…

Ici , c'est tout l'inverse en effet .
En hiver , New-York est une ville polaire . Enfin , qu'importe , du moment que nous avons les armes , la neige ne nous empêche pas de combattre .

A présent , la voiture avait démarrée . Pedro , le domestique était aussi chauffeur . Il assistait bien souvent Sergio .
A l'arrière de la voiture étaient installés les deux Italiens sur les sièges en cuir beige non visible de l'extérieur grâce aux vitres teintées .

Sergio sortit de sa poche un paquet de cigarettes puis en prit une .

Tu fumes ?

La conduite de route de la voiture était impeccable .
Pedro avait mit de la musique classique afin de mettre en condition avant le combat .
Les armes et explosifs étaient disposés dans le coffre : les Asiatiques allaient se prendre une véritable raclée .

Oui je fume.

Il prit une cigarette dans son paquet alors que le chef de la mafia italienne de New York lui en proposait une. Il alluma sa cigarette et observa de derrière la fenêtre, la misère des rues américaines.
Il recracha de la fumée et regarda sa cigarette.

D’habitude je me fais un speed avant chaque mouvement où il y aura de l’action. Si on s’en sort, je t’offrirais un joins. Ca sera, mon cadeau à la famille…
Mais d’abord, tu fumes que des clopes ? Oui, car je sais que beaucoup de gens n’aiment pas le mélange drogue boulot. Si cela vous dérange, je consommerais que pendant mes périodes de temps libre…Donc, presque jamais.

Il faisait glisser sa main gauche sur le cuir de la voiture, et il souriait :

Mais dites-moi, vous régnez seulement sur Little Italy ou sur d’autre quartiers de New York ?

Sergio rigola un long moment .

Les joins , c'est mon quotidien . J'en ai pas sur moi , j'ai laissé toute la cam au repère . On ne peux pas envisager une carrière de Boss sans la drogue .

A ce propos et pour répondre à ta question ; je suis uniquement le Boss de Little Italy .

New-York ne pourrait être controlé par une seule personne vu les circonstances et la tournure qu'ont prit les différents gangs .

Il n'y a que le Maire qui prétend contrôler New-York alors qu'en vérité , il n'a rien en mains .

Je suis au contrôle de ce quartier depuis maintenant une bonne dizaine d'années et cela me suffit largement .

Bien, je n’aurais pas prit tant de plaisir si je devais faire impasse sur mes consommations personnelles.

Il tourna la tête vers Sergio Leone et l’observa bien, ses traits, son visage. Il en venu à la conclusion que cet homme savais y faire.

Nous arrivons bientôt ? Expliquez un peut où vous pensez vous arrêter, dans quelle situation nous allons nous trouvez. Je veux tous savoir pour être le plus efficace.

Il chercha du regard, où se trouvait le cendrier de la voiture. Il était rare de voire une sportive avec des cendrillons, comme aimais si bien le dire Marco. Mais en observant bien, il en trouva un.

Mais si je comprend bien, il y a un seul homme qui peut dire qu’il gouverne New York, qui est t’il ?

Sergio sourit :

Ah ... les consommations , c'est ce qui me permet de survivre dans cette faune qu'est New-York .
Pour répondre à tes interrogations , nous allons arriver à Chinatown et éliminer le plus de nippons possible .
Nos descentes seront très stratégiques : la première sera à Little Korea car j'ai crut apprendre que ca chauffait là-bas en ce moment .
Nous n'avons absolument aucun allié chez les Asiat' .
Les Triades , Yakuzas , Coréens et Viet-Namiens doivent être éliminés . Ils sont tous avides de pouvoir et désirent plus que tout conquérir nos territoires . Ce sont tous des ordures !
Il faut n'en épargner aucun ...
Nous allons donc nous positionner dans Madison Street de telle facon que nous puissions faire un repli stratégique dans les galeries marchandes ... Mieux vaut prévoir , ces gars là se reproduisent plus vite que des mouches ...

S'il y avait vraiment un seul homme qui aurait l'autoité sur New-York , je pense que ce serait le Boss d'Harlem car lui seul contrôle les flux , arrivées et marchandises .
Il s'occupe également des éventuelles animations .

Malgré tout , il me semblerait qu'il existe un Big Boss qui controlerait la ville mais il serait véritablement inconnu ...
Il faudrait que je me renseigne .

Marco semblait faire douter Sergio .
L'Italien devint sceptique à l'idée que quelqu'un puisse posséder New-York hormis le Maire .

Le Boss d’Harlem…Intéressant, il a beaucoup d’hommes en son pouvoir je suppose, et beaucoup plus d’argent que toutes les autres mafia…
Un Big Boss ? Ca devient mystique tout ça, vous voulez dire un homme au dessus de tous qui agirait dans l’ombre et qui tirerait les ficelles qui l’arrange ? Rien que ca, me donne envie de le descendre…

Je vous remercie pour les infos sur le plan que vous avez concocté. J’avais peur de devoir foncer trop dans le tas. Ca serait dommage que je meurt dès mon premier jour. Sinon, on n’a pas encore parlé argent, à combien je serais payé ?

**Du moment qu’il ne demande pas de pourcentages sur mes transactions… Je n'aurais qu'à lui dire que ca n’est pas dans le quartier que je revend , c’est mieux d’intoxiquer les voisins, les ennemis…**

Chef, je peux allumer la radio ? J’ai envie de me détendre un peu, de la belle musique ne fait jamais du mal.

Parlons argent ... Justement , ton salaire ne sera pas fixe puisque je te paierai en fonction des missions .
Mais aussi en fonction du danger ...
Un simple deal pour moi te reviendra à 500 $ , alors qu'un énorme casse à Financial District te reviendra à 3000 $ .
Voilà , j'espère que cela te satisfait car c'est un principe chez moi : aucun de mes hommes a un salaire fixe .

Sergio sourit face à cette dernière reflexion :

Oui , allume la radio . Tiens , mets donc du Beethoven . Je dois avoir un disque dans la boite à gants ...

L'Italien vit par la route qu'ils étaient bientôt arrivés .

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Edit Irony : A l'avenir , ne postez plus vos voyages dans le repère mais demandez-nous par PM de créer un nouveau topic .
Ne vous inquiétez pas , ceci n'est que temporaire , nous allons activer les voyages pour Noel .

Non, l’argent à ce niveau là ne me pose aucun problème.

Marco se mit à chercher dans la boite à gants de la bonne musique alors que la voiture avançait toujours. Ils arrivaient enfin où ils le désiraient.

Je le mets quand même ?

Marco était impatient de sortir et de mettre les choses au point avec les Asiatiques .

» Sergio Leone