Cinéma

Attention ! Le Boss d'Harlem part en live en direct et vous montre ce qu'il pense au sujet des navets d'héroic-fantasy ! ^^
Le débat est ouvert !

Moi , je dis :

Enterrez la hache de guerre , c'est Noel !

Vive l'héroic-fantasy !

Ne suivez surtout pas M. Le Boss
Il a une très mauvaise image d'Eragon parce que la bande annonce ne lui plait guère, j'ai vu le film et j'ai aimé même si bien sur sa n'égale en rien le seigneur des anneaux mais je vais vous dire, à prt le genre les deux films sont totalement différent...alors hein.

De plus M. Le Boss critique Narnia alors...qu'il ne l'a pas vu et pourtant ce film est merveilleux et, pour moi, c'est un très grand film d'héroic fantaisy.

De plus il critique Donjons et Dragons mais il ne l'a pas vu non plus, moi si, j'ai eu le courage mais celui par contre c'est un vrai navet comme on en voit rarement.

Et voici Ditkovitch qui se permet de revenir sur le forum après trois mois d'absence non expliqués ...

Quel match auquel nous assistons !

Je ne suis pas d'accord avec Ditkovitch .
Ces films d'héroic-fantasy sont secondaires et de simples copies sans valeur !

Bon , "closons" ce sujet .

Je vous conseille vivement d'aller voir :

-The Holiday avec Cameron Diaz , Kate Winslet

-Hors de de prix avec Audrey Tautou et Gad Edmaleh

-Mon Meilleur ami avec Daniel Auteuil et Dany Boon

Pour ma part , j'attends impatiemment "SpiderMan 3" , Die Hard 4 (!!!) et surtout "La Môme" .

2007 s'annonce très riche en actions !

=> Sortie en DVD de "La Colline a des yeux" le 24 Janvier ****
=> Sortie en DVD de "Pirates des Caraibes II" le 2 Février ****
=> Sortie en DVD de "Terreur sur la ligne " le 6 Février *
=> Sortie en DVD de "Devil's Reject" le 15 Février ***
=> Sortie en DVD de "Ils" le 19 Février ****
=> Sortie en DVD de "Miami Vice - Deux flics à Miami " le 22 Février **
=> Sortie en DVD de "La jeune fille de l'eau" le 28 Février ***
=> Sortie en DVD de "Marie-Antoinette" le 7 Mars **
=> Sortie en DVD de "World Trate Center" le 20 Mars **


=>>>> Desperate Housewives Saison 2 est annoncée pour courant Février !!! =<<<<


Légende :

1 étoile * : Sans plus
2 étoiles ** : A voir
3 étoiles *** : A acheter ,
4 étoiles **** : A se procurer d'urgence !!!

N'allez surtout pas voir Cashback !
Ce film post-adolescence a tout d'une niaiserie pour le spectateur . Tout ce que vous gagnerez en le visionnant , c'est quelques femme dénudées ...

Je vous suggère d'aller voir "Massacre à la tronconneuse" - Au commencement . Ce film se révèle fort interressant .
Imaginez un film sur le passé du plus grand tueur de tous les temps : Leatherface . Connaitre l'adolescence de quelqu'un comme ca , il n'y a rien de plus palpitant !
Ce ne sera pas comme ses suites sans succès (L'exorciste - Au commencement ... ) .

Enfin bon , c'est vous qui voyez !

J'ai vu "The Descent" de Neil Marshall et je n'ai qu'un mot pour désigner ce film : Génial !
En plus d'être innovant , ce film est vraiment original et terrifiant . Il est sublime , il efface tous les vieux préjugés sur les films d'horreur qu'on avait jusqu'à aujourd'hui .
Ce film est une grande première , certainement l'un des films d'épouvante le plus réussi depuis Blair Witch , Shining et Délivrance .

Je vous conseille à tous de vous procurer "cette perle" .

Je vous conseille également le remake d'Alexandre Aja :"La colline a des yeux " ainsi que "The Devil's Rejects" (pas le réalisateur de "L'armée des morts" ) .
Puis , "Ils" et le 28 Février "La Jeune fille de l'eau" (nouveau succès de Nigh Shyamalan contrairement aux mauvaises langues => via la presse-people ) .

Massacre à la tronconneuse - Au commencement

En salles

En Salles :

Hannibal Lecter - Les origines du mal ***

Molière ***

La Môme ****

Lettres d'Iwo Jima ****

Taxi 4 *

En Salles :

Le Nombre 23 ***

Chronique d'un scandale ***

Dreamgirls **

Ne le dis à personne ***

Michou d'Auber ***



Rappel :
Sans étoile : Déconseillé
1 étoile * : A la rigueur
2 étoiles ** : A voir
3 étoiles *** : A regarder à tout prix
4 étoiles **** : Incontournable , très conseillé

La sortie est annoncée pour début 2008 et pour information , ce ne sera pas Danny Elfman (ce composition si cher à Burton

Enfin oscarisé, sans doute plus pour l'ensemble de son oeuvre que pour Les Infiltrés en particulier, Martin Scorsese reste fidèle à ses principes, parmi lesquels une fidélité certaine envers ses acteurs. Le cinéaste se retrouve ainsi embarqué après The Departed avec Mark Wahlberg dans un projet de série pour la chaîne HBO.

Il s'agirait d'une grande fresque retraçant l'histoire de la ville d'Atlantic City, haut lieu des jeux d'argent avec Las Vegas, où le luxe le plus indécent côtoie sans vergogne la pauvreté la plus inacceptable. Le pouvoir des casinos, l'argent de la cocaïne, toute cette face cachée de la réussite économique basée sur l'industrie du jeu se retrouvent évidemment dans le film de Louis Malle, tout simplement nommé Atlantic City.

Difficile de croire que Scorsese ne s'inspirera pas un peu de son glorieux prédécesseur, il aurait d'ailleurs tort de s'en priver. Si le format est radicalement différent, puisqu'il s'agit ici d'une commande calibrée pour la télévision, le talent ne manque pas et l'apport d'un Mark Wahlberg laisse présager un casting haut de gamme. En résumé, un projet à suivre de près...

Alors que la production de Spider-Man 3 met la gomme en matière de communication sur le dernier épisode, une ombre survole désormais le tableau. Rien qui n'entachera ce spectacle attendu, puisque les fans seront probablement récompensés, mais tout porte à croire plus que jamais que la célèbre série n'était destinée, en l'état, à n'être qu'une trilogie. En effet, si la franchise perd une part de son identité avec le départ de Sam Raimi qui donne son dernier coup de pinceau, Tobey Maguire annonce également qu'il ne fera pas partie de Spider-Man 4, à l'instar de Kirsten Dunst. Un épisode pourtant déjà envisagé par Sony.



Le comédien ayant probablement envie de passer à autre chose (on le comprend) et de ne pas finir comme Roger Moore dans James Bond, il laisse désormais vacante la place archi-convoitée de Peter Parker. Procédant par étape, la production du quatrième opus s'intéresse tout naturellement à l'écriture du scénario et vient de faire sa demande à David Koepp qui avait déjà signé le script du premier film… Rappelons que c'est à lui que l'on doit également les scénarii de L'Impasse, Mission Impossible, Snake Eyes, Jurassic Park, Panic Room, et plus récemment La Guerre des mondes.


Source : Excessif.com

Bientôt à l'affiche :

Distributeur : Pathé Distribution

Sortie France : 07 Mars 2007

Sortie USA : Bientôt dans les salles

Réalisateur : Franck Mancuso
Acteurs : Jean Dujardin, Laurent Lucas, Agnès Blanchot


Franck Mancuso, scénariste de 36, quai des Orfèvres, réalise ici son premier long-métrage, Contre-enquête. Dans la même veine que le film d’Olivier Marchal, ce premier essai s’apparente à un thriller haletant, avec une connaissance évidente du milieu de la police criminelle.

Sypnosis :

Malinowski est capitaine à la Crim. Il est compétent et très apprécié par ses collègues. Les deux amours de sa vie sont sa femme et sa fille de neuf ans. La vie suit son cours. Jusqu’au jour où un promeneur commet le pire des crimes sur sa fille. Un homme est arrêté, puis condamné. Mais si le flic pense l’affaire classée, le père commence à douter. D’autant que le condamné entretient avec lui une correspondance troublante…

__________________________________________________

Etude du film :

Les thrillers français de qualité se font tellement rares que lorsqu’on en tient un, le plaisir n’est que plus intense. Avec Contre-enquête, Franck Mancuso prouve que 36, quai des Orfèvres n’était pas qu’un heureux accident. Il semble qu’un certain savoir-faire se soit tissé au niveau national, mêlant allègrement film noir, policier et thriller. Le Petit lieutenant tendait également à confirmer cette tendance. Le point commun de tous ces films est un réalisme cru, même cruel, confrontant un public nourri aux flics cow-boys et ultra stylisés hollywoodiens, à la réalité la plus sombre du quotidien des agents de police. Mais le film de Mancuso n’utilise cet élément qu’en tant que décor pour entourer un thriller psychologique de première facture.

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

La tension est omniprésente et ne souffre d’aucune baisse de régime. La grande réussite du réalisateur est en effet d’avoir su créer cette atmosphère, lourde, suffocante, insoutenable, qui noue l’estomac durant tout le métrage. Les dialogues sont incisifs et les regards éminemment évocateurs. Mancuso n’évite pas quelques facilités métaphoriques, comme la pluie tombant sur une vitre représentant les larmes que ne verse pas Malinowski. Mais dans l’ensemble, la mise en scène respire la simplicité et surtout l’efficacité, allant toujours chercher l’émotion là où elle se trouve.

Le réalisateur est servi en cela par des acteurs hors normes. Une perfection dans l’interprétation des premiers rôles tenus par Jean Dujardin et Laurent Lucas (ce dernier étant peut-être le plus impressionnant), aux seconds couteaux particulièrement crédibles, notamment les collègues de Malinowski. Laurent Lucas sidère par sa capacité à incarner tantôt un gentil agneau, tantôt le pire des pervers. Certes, on aurait aimé que Mancuso approfondisse encore plus certains personnages, tant leur profil (surtout celui qu’incarne Laurent Lucas) méritait un traitement autrement plus conséquent. D’autant plus que le réalisateur avait a priori la place de rallonger un peu tout cela (le film ne dure qu’1h25).

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

Toutefois, cette frustration ne fait que révéler à quel point l’histoire prend par les tripes, à quel point Mancuso parvient à nous impliquer entièrement dans cette enquête de la dernière chance d’un homme désespéré, détruit par la perte de sa fille. Le film ne cherche pas le politiquement correct, avec une justice forcément équitable et qui gagnerait toujours à la fin. Il oscille ainsi en permanence entre une certaine humanisation de la Bête et le désir d’une justice qui n’est pas la même dans les yeux du père et ceux du flic. Une justice qui au final ne dit pas son nom, mais dont personne n’est dupe. Il ne s’agit plus ici des belles valeurs de la République et de la Démocratie, mais d’instincts profondément humains, primaires, bestiaux.

Justice et vengeance n’ont jamais fait bon ménage, il serait illusoire de laisser croire à une raison plus forte que les émotions. En ce sens, Contre-enquête se fout éperdument de la bonne morale et cherche à coller au plus près à ce qui fait de nous des hommes, soit cette lutte permanente, et presque contre-nature, du Bien prôné par la raison et du Mal véhiculé par nos instincts. Evidemment, il s’agit d’une vérité pas facile à entendre pour certains, et les éternels optimistes, défenseurs de la bonté de la nature humaine, y trouveront peut-être à redire. Mais Contre-enquête aura de toute façon atteint sa cible : révéler la noirceur de l’âme.

Detour Mortel premier du nom ne cassait certes pas trois pattes à un canard (simplement un sous Texas Chainsaw), mais a toujours le mérite aujourd'hui d'avoir relancé le survival craspec au cinéma. Un genre par lequel on ne cesse d'être envahi désormais, et qui nécessite de repasser par la case originalité pour convaincre. Ce qui ne semble pas être le cas de cet opus, directement destiné à la vidéo et qui raconte à peu près le même topo que n'importe quelle déclinaison du genre. Soit l'histoire d'un groupe de jeunes gens paumés en pleine campagne et pris en chasse par une famille de déglingués pas très jolis et amateurs d'objets tranchants.

Aucune information concernant une sortie française.

Avec le recul, une seule image aura vraiment marqué cette 79e cérémonie des Oscars, celle de quatre rêveurs des années 70 qui se sont retrouvés sur la scène du Kodak Theatre pour récompenser celui que les Oscars avaient injustement oublié jusqu'ici. Après près de 40 ans de carrière (son premier film Who's That Knocking at My Door date quand même de 1967) Martin Scorsese a enfin obtenu la récompense qu'il méritait depuis de nombreuses années, et ce sont Steven Spielberg, Georges Lucas et Francis Ford Coppola qui la lui ont remise. Les Infiltrés a été salué par 4 Oscars : celui du meilleur réalisateur donc, mais aussi celui du meilleur film, de la meilleure adaptation et du meilleur montage. Nous ne lancerons pas de polémique inutile sur la légitimité de récompenser un remake, d'autant plus que plusieurs de ces films auraient largement mérité d'être récompensé avant celui ci, et qu'il serait normal du coup qu'il partage ici cette récompense avec Andrew Law et Alan Mak. Bref, si nous sommes ravis que Scorsese ait enfin son Oscar, nous aurions préféré qu'il l'obtienne plus tôt et ce final assombrit légèrement une cérémonie qui avait pourtant très bien commencée.

Devant un Kodak Theatre magnifiquement décoré, cette 79e cérémonie a vu défiler sur le tapis rouge d'innombrables célébrités. L'ont foulé, pelle mêle, l'excellent trio mexicain, Alejandro Innaritu, Guillermo Del Toro, Alfonso Cuaron, trois réalisateurs au sommet de leur art et surexcités de participer à l'événement, une Jodie Foster plus lumineuse que jamais, l'équipe d'Indigènes presque au complet, menée par un Jamel monté sur des ressorts ou encore une Rachel Weisz qui avouait au micro du tandem de choc de Canal Plus Laurent Weil-Didier Allouch qu'elle rêvait de tourner avec Assayas ou Despleshin… Quelques moments sympathiques sur le "red carpet" donc, notamment la rencontre entre Rachid Bouchareb et Clint Eastwood, le premier allant serrer la main du second avec tout le respect qu'on imagine. Après deux heures de flashs et d'interviews express, sous la baguette de l'icône gay Ellen De Generes, animatrice d'un talk show ultra populaire outre atlantique, la cérémonie commence face à un parterre de stars magnifiquement vêtues, à défaut d'une petite faute de goût, celle de Nicole Kidman affublée d'un énorme nœud rouge autour du cou.

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

Après la diffusion d'un clip dédié aux nominés et ressemblant fort à une publicité pour IBM, la maîtresse de soirée entre en piste et lance la soirée avec un discours drôle, certes, mais bien plus soft que ceux de Billy Crystal, de Chris Rock ou de Robin Williams. Peut-être aurait-elle du jeter un œil aux Césars la veille pour prendre exemple sur Valérie Lemercier, bien plus en verve que sa collègue américaine pour le coup. Qu'à cela ne tienne, l'important reste quand même le cinéma et la remise des fameuses statuettes.

On attendait les Eastwood, Dreamgirls, Blood Diamond, mais c'est Le Labyrinthe de Pan, pour notre plus grand plaisir, qui a créé la surprise en raflant trois prix, techniques certes, mais trois prix quand même. La perle de Guillermo Del Toro se retrouve donc sacrée par la meilleure direction artistique, les meilleurs maquillages et la meilleure photographie, cette dernière récompense étant amplement méritée pour Guillermo Navarro, chef opérateur attitré du réalisateur de Blade 2. Dommage que ce prix ne prenne en compte que la photographie et pas ce que les Américains appellent la "cinématographie" car dans ce cas-là, peut être que Les Fils de l'homme ne serait pas reparti bredouille.
L'autre film que tout le monde voyait comme un favori (mais tout en le qualifiant d'outsider) était Little Miss Sunshine. Le film de Jonhatan Dayton et Valérie Faris rafle deux prix : celui du meilleur scénario original pour Michael Arndt, un ancien assistant personnel de Matthew Broderick, et celui du meilleur second rôle masculin pour Alan Arkin (le grand père de la famille). Comme quoi jouer un camé qui meurt dans un film indépendant reste encore le meilleur moyen de bien se faire entendre.

Chez les comédiens toujours, pas de surprises, on reste dans la lignée des Golden Globes, puisque se sont Forest Whitaker (Le Dernier Roi d'Ecosse) et Helen Mirren (The Queen) qui sont repartis avec les titres de meilleurs acteur et actrice de l'année. De très bonne augure pour la sixième saison de The Shield. Le meilleur second rôle féminin est attribué à Jennifer Hudson pour Dreamgirls, qui repart également avec la statuette du meilleur mixage. L'Oscar du meilleur morceau musical est revenu à Une vérité qui dérange, qui a obtenu parallèlement le prix du meilleur documentaire. Et cette fois-ci, Al Gore n'a pas demandé un recompte des voix !

On reste dans le son avec le prix de la meilleure musique attribuée à Gustavo Santaolalla pour Babel. On ne cache pas qu'on aurait préféré que ce soit Javier Navarrete qui ait le prix pour sa sublime partition du Labyrinthe de Pan, ou Alexandre Desplat (prononcez Dessplat, n'est-ce pas Didier ?) pour The Queen, parce qu'on reste quelque peu chauvin. Il faut croire que tout le monde n'a pas le même sens de ce qu'est une bonne musique, surtout pas les organisateurs de la soirée qui, pour rendre hommage à Ennio Morricone salué par un Oscar d'honneur, ont eu l'idée de faire chanter Céline Dion sur l'air d'Il était une fois en Amérique ! Lorsque Ennio a eu sa statuette, il était en pleurs, et nous ne saurons jamais si c'était à l'émotion ou d'avoir entendu l'un de ses plus beaux thèmes massacré par la chanteuse québécoise.

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

Les deux dernières récompenses techniques ont été données à Lettres d'Iwo Jima pour le montage sonore et Marie Antoinette pour les costumes, Milena Canonero ayant déjà obtenu un Oscar pour Barry Lindon en 1975. Enfin, l'Oscar des meilleurs effets spéciaux, qui récompense généralement les grosses machineries Hollywoodiennes, a vu gagner Pirates des Caraïbes 2 face à Superman Returns et Poséidon. Il est certain que les sfx sont ici plus voyants que dans Les Fils de l'homme, c'est d'ailleurs peut-être pour ça que ce dernier n'a peut-être pas été nominé.

On reste dans la 3D avec l'Oscar du meilleur film d'animation qui a récompensé Happy Feet, et pour l'occasion, le costume de pingouin de Georges Miller était vraiment bien trouvé.

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

Un petit tour par les courts-métrages : le meilleur film d'animation court revient à The Danish Poet, celui du meilleur documentaire court à The Blood Of Yingzhou District et celui du meilleur court tout court à West Bank Story. Cocorico ! Le producteur de ce dernier est français, on ne sera pas reparti bredouilles. Bredouilles oui, car Indigènes n'aura pas réussi à emporter le prix du meilleur film étranger, pas plus que le Labyrinthe de Pan, car c'est le film de Florian Henckel von Donnersmarck, La Vie des Autres qui rafle la mise. Nous sommes déçus, certes, mais néanmoins ravis que ce soit un aussi bon film qui décroche cet Oscar.

Une cérémonie dont on ne sait pas trop quoi penser finalement, assez surprenante tout en restant très prévisible, il est 7 heures du matin, après une nuit blanche, il s'avère difficile d'avoir du recul. Trois prix étaient donnés d'avance (meilleur acteur, meilleure actrice, meilleur documentaire), Scorsese ne pouvait pas ne rien avoir, surtout après les déclarations d'Eastwood qui avait dit qu'il ne voulait pas d'Oscar si son pote Marty n'avait rien, les autre films attendus se sont répartis les prix (Dreamgirls, Le Labyrinthe de Pan et Little Miss Sunshine). Blood Diamond repart bredouille, tout comme Borat, ce qui est dommage car nous aurions aimé voir Sacha Baron Cohen recevoir une statuette ou Leonardo DiCaprio .

___________________________________________________

La liste des vainqueurs des Oscars 2007 :

Best Motion Picture of the Year
Les Infiltrés (2006) - Graham King

Best Performance by an Actor in a Leading Role
Forest Whitaker pour Le Dernier roi d'Ecosse (2006)

Best Performance by an Actress in a Leading Role
Helen Mirren pour The Queen (2006)

Best Performance by an Actor in a Supporting Role
Alan Arkin pour Little Miss Sunshine (2006)

Best Performance by an Actress in a Supporting Role
Jennifer Hudson pour Dreamgirls (2006)

Best Achievement in Directing
Martin Scorsese pour Les Infiltrés (2006)

Best Writing, Screenplay Written Directly pour the Screen
Little Miss Sunshine (2006) - Michael Arndt

Best Writing, Screenplay Based on Material Previously Produced or Published
Les Infiltrés (2006) - William Monahan

Best Achievement in Cinematography
Le Labyrinthe de Pan (2006) - Guillermo Navarro

Best Achievement in Editing
Les Infiltrés (2006) - Thelma Schoonmaker

Best Achievement in Art Direction
Le Labyrinthe de Pan (2006) - Eugenio Caballero, Pilar Revuelta

Best Achievement in Costume Design
Marie Antoinette (2006) - Milena Canonero

Best Achievement in Music Written pour Motion Pictures, Original Score
Babel (2006) - Gustavo Santaolalla

Best Achievement in Music Written pour Motion Pictures, Original Song
Une vérité qui dérange (2006) - Melissa Etheridge("I Need To Wake Up")

Best Achievement in Makeup
Le Labyrinthe de Pan El (2006) - David Martí, Montse Ribé

Best Achievement in Sound
Dreamgirls (2006) - Michael Minkler, Bob Beemer, Willie D. Burton

Best Achievement in Sound Editing
Lettres d'Iwo Jima (2006) - Alan Robert Murray, Bub Asman

Best Achievement in Visual Effects
Pirates des Caraïbes 2 : le secret du coffret maudit (2006) - John Knoll, Hal T. Hickel, Charles Gibson, Allen Hall

Best Animated Feature Film of the Year
Happy Feet (2006) - George Miller

Best Foreign Language Film of the Year
La Vie des autres (2006)(Germany)

Best Documentary, Features
Une vérité qui dérange (2006) - Davis Guggenheim

Best Documentary, Short Subjects
The Blood of Yingzhou District (2006) - Ruby Yang, Thomas Lennon

Best Short Film, Animated
The Danish Poet (2006) - Torill Kove

Best Short Film, Live Action
West Bank Story (2005) - Ari Sandel

Voilà , voilà !!! Vous savez tout .


Source : Dvd Rama

Palmarès
Dreamgirls a reçu deux Oscars en 2007, celui du meilleur son et celui de la meilleure actrice dans un second rôle pour Jennifer Hudson. Il a été nommé dans plusieurs autres catégories : meilleur acteur dans un second rôle pour Eddie Murphy, meilleurs décors, meilleurs costumes, ainsi que deux nominations pour la meilleure chanson. Par ailleurs, le film a reçu le Golden Globe 2007 de la meilleure comédie, Eddie Murphy celui du meilleur acteur dans un second rôle, tout comme Jennifer Hudson qui a reçu l'équivalent féminin. En plus de son Golden Globe, cette dernière a également reçu le Bafta et le Screen Actor Guild dans la même catégorie.

Casting prestigieux
Beyoncé Knowles, Jamie Foxx, Eddie Murphy, Danny Glover ... tous réunis à l'affiche de Dreamgirls. La chanteuse Beyoncé Knowles, fan du spectacle musical de Dreamgirls, s'est présentée à l'audition et a été prise pour interpréter le rôle de la diva de la soul Diana Ross. Quant à Jamie Foxx, il a refusé au départ de jouer le rôle de Curtis Taylor, car le salaire ne lui correspondait pas. Mais dès qu'il a appris que Eddie Murphy et Beyoncé Knowles faisaient partie du casting, l'acteur a finalement changé d'avis. Pour choisir l'actrice qui devait incarner le rôle d'Effy, les producteurs ont auditionné 783 filles, et ont retenu Jennifer Hudson, l'une des finalistes de l'émission de télé réalité American Idol aux Etats-Unis.

Un projet laborieux
Dreamgirls est l'adaptation d'un spectacle musical de Broadway retraçant l'histoire du groupe The Supremes et de la compagnie de disque Motown Records. En 1980, Warner Bros Pictures, a acquis les droits de Dreamgirls et voulait engager Withney Houston pour jouer le rôle de Deena. La production a abandonné le projet, car la chanteuse exigeait de chanter aussi les chansons d'Effy, un des personnages principaux du film. Warner Bros Pictures relance la production en 1990, avec Lauren Hill au casting et Joel Schumacher à la direction du film. Second échec. Finalement, le studio arrête le projet à cause de l'insuccès du biopic Why Do Fools Fall in Love ?




Source : Allo Ciné

LA MOME
Un film d'Olivier Dahan
Avec Marion Cotillard, Jean-Pierre Martins, Gérard Depardieu, Clotilde Courau, Jean-Paul Rouve, Sylvie Testud, Pascal Greggory, Marc Barbé, Caroline Sihol, Emmanuelle Seigner
Durée : 2h20



Sypnosis :
Les rues froides de Paris assombries par la violence de la première Guerre Mondiale qui se prolonge. Une enfant, misérablement vêtue, contemple sa mère qui chante au loin, l’attend. Elle lui est ravie quelques mois plus tard par son père qui la confie à sa propre mère, tenancière d’une maison close. Elle y est élevée jusqu’au jour où son père, contorsionniste de formation, l’emmène avec lui sur les routes. Elle y débute sa carrière avec des chansons populaires qui enchantent les passants. C’est ainsi que la jeune Edith est repérée en 1935 par Louis Leplée, gérant d’un cabaret. Bouleversé par sa voix, par son aura, il lance la Môme Piaf.




----------------------------------------------------------

La vie en rose, La foule, Non, je ne regrette rien, Hymme à l’amour, L’homme à la moto… Des chansons qui ont marqué toute une génération, qui continuent à nous faire frissonner, fredonnées dans le monde entier et, emportée par ces chansons, une femme, fluette, tout de noir vêtue, fragile et puissante, farouche et rebelle, gouailleuse et despotique, mais terriblement séduisante de par sa seule présence, pénétrante, sa voix unique, intense. Difficile d’incarner une figure aussi forte, aussi impalpable, de la faire revivre. Un pari audacieux relevé brillamment par Marion Cotillard, emblème, au-delà du personnage Piaf, de ce film. C’est sa prestation, bouleversante, que l’on retient en premier lieu en se posant, une fois l’émotion première passée, sur ce récit. Derrière le maquillage qui la transforme littéralement, ce sont les gestes, les attitudes, les regards qu’elle a su saisir. Elle ne se contente plus de jouer, elle habite, incarne Piaf, semble s’être laissée envahir par les doutes, les angoisses de la femme.

Car plus que sur l’artiste, c’est sur la femme que s’attarde Olivier Dahan, Une femme cassée par la rudesse de la vie, de la mort, de la maladie. Il met très peu en avant son parcours de chanteuse, son ascension, la séductrice qu’elle était, qui a lancé Yves Montand, Charles Aznavour, Georges Moustaki, ses innombrables passions, tout aussi lumineuses que dévastatrices. De l’éternelle amoureuse, il ne retient qu’une liaison, celle avec Marcel Cerdan, s’arrête sur ce coup de foudre qui la transporte, l’irradie, la déchire, l’anéantit. Elle ne se remettra jamais de la disparition soudaine de celui qui avait apparemment su la rendre sereine, lui apporter un réel équilibre.

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

Le cinéaste transfigure d’ailleurs l’ultime scène de leur relation, une séquence tranchante, représentative de son univers, de cet esthétisme onirique dont il est friand et qui imprègne ce film, lui donne presque parfois la tonalité d’un conte fantastique.
Pour mieux cerner la douleur qui émane de la femme, Olivier Dahan s’est donc concentré sur certains des épisodes les plus poignants de sa vie, ses déchirures, à commencer par celles de son enfance, ses égarements, la turpitude qui l’entoure, la drogue à laquelle elle se retrouve assujettie et il transcende ainsi la détresse d’Edith, celle qui transperce dans ses chansons, lui apporte cette force qui l'a rendue éternelle. Il s’arrête sur ce qui a fait d’elle cette chanteuse unique en insistant sur ses choix, souvent spontanés, directs, liés à des rencontres, impromptues et inattendues avec de jeunes auteurs. C’est ainsi que l’un d’eux, en forçant sa porte d’entrée, en lui fredonnant un « non rien de rien, non je ne regrette rien » lui donne le courage de remonter sur scène. Il cherche à comprendre ce qui l'a rendue aussi fascinante, revient sur son apprentissage aux côtés du compositeur Raymond Asso qui, après l’assassinat de Louis Delpée, la façonne, devient son Pygmalion, sur sa rencontre avec Marguerite Monnot, qui écrivit et interpréta ses plus belles mélodies, donne la parole à ceux qui ont fait d’elle la femme qu’elle est devenue, entière et poignante.


Pour mieux cerner l’artiste au travers de la femme, au travers de ses meurtrissures, il a choisi du coup de briser la temporalité de son récit, de s’axer sur des moments précis de son existence, des moments qui la définissent, expliquent une attitude, une chanson, ce qui lui permet de la suivre en évinçant des pans entiers, en passant de son enfance à sa déchéance, de sa gloire à ses premiers pas, de façon totalement déstructurée, la force émotionnelle se dégageant de chacune de ces parenthèses étant sa seule finalité. Du coup, si le film nous transporte, il ne peut être considéré comme un portrait fidèle de l’artiste, présentée ici dans ce qu’elle a de plus sombre. Olivier Dahan, dont le parti pris est intéressant, oublie l’égérie lumineuse qu’elle a été, passe très vite sur l’éclat de sa renommée, celui de l’amante passionnée et irrésistible, de la star généreuse qui a apporté beaucoup au monde de la musique. Des traits de sa personnalité probablement plus médiatisés, raison pour laquelle Olivier Dahan s’en est probablement détourné, préférant faire revivre avec sincérité la môme qu’elle a toujours été.


Source : DVDrama

Retrouvailles
Michou d'Auber marque les retrouvailles de deux des acteurs les plus populaires du cinéma français, Gérard Depardieu et Nathalie Baye. Si les spectateurs se souviennent forcément du couple qu'ils formèrent dans Le Retour de Martin Guerre, le film à succès de Daniel Vigne en 1982, les deux comédiens se sont également donné la réplique dans Rive droite, rive gauche de Philippe Labro en 1984 et dix ans plus tard dans La Machine de François Dupeyron. Ajoutons que Baye fit une apparition dans La Dernière Femme (1976), film de Marco Ferreri avec Depardieu. On se souvient aussi la chanson Comédien, comédien qu'ils avaient interprètée en duo à la télévision dans les années 80.

Michou et nous
Réalisateur de comédies à succès (La Vérité si je mens, Black mic-mac), Thomas Gilou s'essaie avec Michou d'Auber à un registre plus tendre. Il précise ses intentions : "J'ai voulu que l'image du film reflète le passage de l'ombre vers la lumière, à mesure que l'enfant s'ouvre aux autres. Parmi les thématiques du film, la découverte de la nature a son importance : une nature française, loin du pittoresque, qui confine au mystique. Les acteurs forment les paysages de ce film tandis que les paysages deviennent autant de personnages (...) Michou d'Auber nous raconte une histoire qu'ont vécue beaucoup d'enfants algériens dans les années 60. L'histoire des parents d'aujourd'hui et de leurs enfants, à la recherche de racines rêvées et d'une culture qui leur rassemble (...) C'est l'histoire universelle de parents et d'enfants qui s'ouvrent à la différence."

Critiques :

Télérama - Frédéric Strauss
L'émotion est prévisible, calculée évidemment, mais honnête.

Télé 7 Jours - Julien Barcillon
Un petit film plaisant, attendrissant, drôle et grave à la fois.

Elle - Hélèna Villovitch
Bons sentiments et émotions garanties, c'est du tout public !

Paris Match - Alain Spira
Cette variation du "Vieil homme et l'enfant" pèche par un scénario qui ne fait qu'effleurer les personnages.

Les Inrockuptibles - Emily Barnett
Fable gentillette à vocation philanthropique, le nouveau film de Thomas Gilou (...) fait reposer sa morale sur une dialectique franchement discutable

Source : Allo Ciné

_________________________________________________________________________

Des critiques partagées pour un film pourtant incontestable .

La Critique de Guerre de Gangs : Un film pour tous , humanitaire comme on en voit si rarement . Ce film prouve une nouvelle fois la compétence d'acteur invétéré de Gérard Depardieu . A voir !

La gazette de La Momie vient de fournir des nouvelles toutes fraîches à propos de sa seconde suite. Chose dont la franchise a vraiment besoin pour revenir sur le devant de la scène après un second opus particulièrement mauvais, et nanti de bien mauvaises intentions. Impossible de savoir s'il en est de même pour La Momie 3 actuellement en pré-production, mais des différences notables sont annoncées concernant cette superproduction à 100 millions de dollars – soit le même budget que l'épisode précédent.


>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

Si Rob Cohen - réalisateur qui a la particularité de rater des films faciles - devrait tourner son volet à Montréal, son scénariste annonce la couleur plus en détail. Le changement radical concerne la créature elle-même puisque exit Arnold Vosloo, et bonjour Jet Li selon des rumeurs de plus en plus insistantes. Certes, les traits égyptiens de l'acteur ne brillent pas par leur évidence, mais c'est justement parce que l'intrigue ne se déroulerait plus du tout en Afrique du Nord, mais du côté des contrées chinoises. La Momie 3 serait donc un monstre adepte du Kung-Fu et effrayant malgré ses deux têtes de moins que Brendan Fraser ? On n'en attendait pas moins de la part du créateur de xXx et l'entreprise se risque à devenir vraiment amusante.

Notons enfin qu'outre Brendan Fraser, Rachel Weisz sera également de retour ainsi que leur gentil fiston, annoncé ici comme le jeune adulte de service.