Nightclub "Elypcat"

Ce NightClub est certainement l'un des plus fréquentés du quartier , et pour cause , c'est celui le plus animé lors des soirées .
Il est situé en plein centre de Soho . Cette discothèque vous offre plusieurs coins de bonheur tel qu'un bar majestueux , des fauteuils en cuir autour de pin-ups et bimbos en légères tenues .



Une fontaine est disposée entre la piste de danse et le coin casino .
De nombreux habitués fréquentent ce lieu ou les rencontres se multiplient tous les soirs .

La capacité d'accueil de "l'Elypcat" est de 1500 personnes . C'est l'une des plus grande discothèque de tout New-York .




La majorité est necessaire pour entrer dans cette endroit et bien entendu une tenue correcte exigée .



Mieux vaut être accompagné de poppers et avoir fermement l'idée de s'éclater dans cette discothèque . L'argent est aussi de rigueur puisque la discothèque comporte aussi un casino dont il est très facile d'y laisser son argent comme en gagner ...

La limousine de De Vito venait de pénétrer dans Soho et à peine quelques minutes plus tard, vint se garer devant l'Elypcat.

La boite de nuit était éclairée par quelques néons de couleurs rose et jaune et un bruit assourdissant en sortait. Il devait y avoir de l'animation. Cela ne pourrait que faciliter la tâche à Ditkovitch.

Il remercia les gardes du corps pour la petite promenade et aussitôt après pénétra dans le hall d'entrée avec l'un deux.

Un grand black était posté devant une porte recouverte de coussins rose afin d'étouffer le son qui venait de l'autre côté.
Le garde lui ordonna d'ouvrir la porte. Le vigil s'exécuta.

Instantanément, le vacarme qui régnait dans la salle parvint aux oreilles de Ditkovitch. Il lui fallut plusieurs secondes pour s'habituer au volume sonore.

Au centre du Nightclub était disposé une fontaine gigantesque et à gauche de celle-ci, le coin casino. Le garde le conduisit dans cette direction.
Ils passèrent à travers quelques tables où se jouait des parties de pokers, des roulettes russes et bien d'autres jeux encore.
Ils s'arrêtèrent brusquement devant une porte avec marqué dessus : No admitance.
Le garde frappa plusieurs fois et quelques secondes après retentit une voix grave qui ordonnait que l'on entre.

De Vito était assis derrière son bureau et lorsque Ditkovitch rentra dans la pièce, une jeune femme sortit de dessous le bureau essuyant sa bouche d'un revers de manche.

On n'oublie pas les bonnes manières à ce que je vois.

Ditkovitch s'approcha vers lui et lui tendit ses deux mains grassouillettes.

[MJ ON]


De Vito enlaça alors son vieil ami et lui dit nerveusement :

Eh bien quoi ... Je n'ai rien à me reprocher. Cette femme n'est qu'une pin-up ... Ma femme m'a délaissée pour un autre il y a maintenant un mois. Encore heureux que je n'étais pas marié avec. Cette garce m'aurait fait craché tout mon argent par l'intermédiaire du divorce.

Enfin bon, quel bon vent t'amènes ici ?
Ca m'étonne de te voir à l’Elypcat, ce n'est pas ton genre. Au fait, tu sais que cette boite est l'une des plus renommées de tout New York ? Lorsque j'ai appris ça, je suis tombé à la renverse.

De Vito ne cessa de parler sans même laisser le temps à son interlocuteur de répondre à ses questions . Cela faisait partie de son caractère assez persuasif et de son habitude à bavarder.

Des gardes entrèrent alors dans le bureau et l'un d'eux dit à De Vito :

Il y a encore le bourré qui est revenu ... Il nous menace de ramener son gang si on ne le laisse pas entrer ... Que fait-on ?


De Vito se raffermit, son regard et son attitude changèrent :

Que de soucis ... Envoyez-le à la police et liquidez-le. Au moins, il ne reviendra plus .

Les gardes acquiescèrent d'un signe de tête puis regardèrent d'un drôle d'oeil Ditkovitch toujours debout face à De Vito .
Celui-ci dit justement :

Ah, ses vigils. Ils ne savent rien faire tout seuls ...

De Vito sourit au Russe puis sortit une boite de cigare de son tiroir :

T'en veux un ? Ceux-ci sont en provenance de Cuba. Ses cigares sont une bénédiction pour moi .


[MJ OFF]

Ditkovitch refusa poliment le cigare que De vito lui tendit. Fumer dans son état n'était peut-être pas très sage.

Non merci l'ami, je dois t'avouer que ma visite n'est pas sans arrière pensée...

Ditkovitch ouvrit doucement sa veste et la grosse tache de sang parut aux yeux de De vito. Celui-ci s'approcha lentement de Ditkovitch et vint lui toucher l'épaule ensanglantée. Avant même d'avoir pu ouvrir la bouche, Ditkovitch avait recommencé à parler.

...Je t'expliquerais volontiers ce qui s'est passé mais pas pour le moment, le temps presse et je sens que je vais tomber dans les pommes si je continue à perdre mon sang de cette façon.

De vito, qui l'écoutait attentivement, l'invita à s'asseoir et appela immédiatement un garde à qui il ordonna d'aller chercher Mme Rosebud, une jeune infirmière, habituée du casino que De vito connaissait très bien pour avoir passé quelques nuits intimes avec elle.

Ditkovitch continuait de perdre son sang et il lui fallait se dépêcher s'il voulait accomplir son projet comme prévu.

Les Hispaniques sont après moi, ils ont détruit ma maison, ma voiture, ils ont liquidés mes gardes, je n'ai plus rien. J'ai besoin d'un endroit ou me cacher, je pourrais disparaître pendant un moment afin de mieux préparer ma vengeance. Il faut que je leur fasse payer ce qu'ils ont osé me faire et je n'y arriverais que si tu m’aides. Tu as une dette envers moi après tout souviens toi.

L'infirmière venait d'arriver dans la salle. C’était une jeune fille qui devait avoir la trentaine.
Elle semblait habitué à ce genre de cas puisqu'en entrant dans la pièce celle-ci ne tressaillit même pas. Au contraire elle paraissait calme et extrêmement sereine.

Elle demanda à Ditkovitch d'enlever sa chemise et commença à lui nettoyer sa plaie.

Pendant ce temps, De vito regardait fixement Ditkovitch, sans dire un mot.

[MJ ON]


[HJ: Ce n'est pas pour t'embeter que je vais te dire ceci mais pour t'aider lors de tes prochains posts . Tu ne devrais pas décrire les émotions et gestes des personnages qui t'entourent .C'est une règle primordiale de Rp . Tu dois donc te contenter de jouer uniquement ton personnage . Tu ne peux pas intégrer à tes posts des personnages tel que l'infirmière ...
Sinon , à quoi serviraient les Maitres de Jeu ?
En revanche , si tu le veux , l'équipe d'administration peut te remettre un statut de MJ en plus d'être modérateur .
Voilà pour les conseils . HJ]

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De Vito continuait à fixer bêtement Ditkovitch . Celui-ci semblait étonné de l'intervention de ces Hispaniques à la demeure de ce dernier .

Je reste muet face à cette situation . Quesqui a poussé les hispaniques à commettre cette folie . Ils savent pourtant que les Russes sont les élites à New-York , ils ne sont pas sans savoir que nous possédons les stocks les plus impressionnants d'armes de la ville . D'ailleurs , pendant un moment , ils s'approvisionnaient dans nos stocks sur Chelsea . Si nous leur coupons les vivres et leur exportations d'armes , nous aurons l'avantage .
Ces saletés d'hispaniques vont payer pour le mal qu'ils ont osés te faire . Il est bien temps de nous imposer en maitres . Voilà trop longtemps que nos quartiers sont souillés par cette racaille ...
Trop c'est trop ...

La jeune infirmière continua de soigner Ditkovitch avec une grande attention . Puis , elle s'exclama alors à l'écoute de la dernière phrase de De Vito .

Cesse donc cete haine permanente ! Quand cessera-tu de développer la violence dans cette ville ?! C'est à cause de personnes comme toi que des guerres de gangs éclatent un peu partout à New-York . En ce moment même , Chinatown est baigné dans le sang . Des conflits surviennent aussi bien à Manhattan que dans les autres districts à cause de dictateurs comme toi qui prônent la violence ...

De Vito l'interrompa immédiatement :

Tu me reproches d'être un dictateur , c'est bien ca ? Moi qui t'ai hébergé pour trois francs , six sous pendant des années . Moi qui t'ai payé pour tes services des salaires plus que corrects ! Je t'ai nourri ! Soigné !
Et voilà le remerciement que j'en ai ! Tu te rends compte ?!
Tu dépasses vraiment les bornes !

L'infirmière ne répondit pas et continua à soigner les plaies de ce dernier .
De Vito la regardait d'un oeil sévère tout en fumant son long cigare .


[MJ OFF]

La réaction de De vito paraissait quelque peu excessive , ses bons services auprès de cette infirmière n'excusaient pas le fait que De vito était un incorrigible goujat, un manipulateur qui prône la violence et déclare la guerre à quiconque ose le déranger. Non , De vito était loin d'être une bonne personne mais lorsqu'il s'agissait d'aider ces amis il pouvait faire preuve de bonté.

Je ne prendrais pas le risque de déclencher une guerre ouverte pour le moment, non je pense qu'il faut faire profil bas, comme si rien ne s'était passé. Je resterai caché chez toi et lorsque le moment viendra nous frapperons fort, sans même qu'il s'en aperçoivent. Les armes c'est moi qui les contrôlent et je peux décider d'envoyer ces enfoirés dîner en enfer quand bon me sembleras.
Je n'accepterais pas qu'on me traite de cette façon et je pense que quiconque ferais la même chose mais d'une manière un peu plus catholique.

L'infirmière était peut être un peu trop plongé dans leur conversation et c'est ainsi que brusquement elle enfonça une aiguille dans l'épaule de Ditkovitch. Celle-ci en avait presque fini avec lui et elle commençait à le recoudre mais cette nouvelle attaque lui relança sa blessure. L'infirmière s'excusa.

Ca ne fait rien, mais si je puis vous suggérer une chose, ne vous intéressez pas à ce que nous disons ou même faisons, c'est noir et l'avenir est incertain. Je suis sur que vous rêvez d'une belle famille avec des enfants et un chien pour égayer vos journées. Un mari aimant et fidèle....

C'est ainsi que Ditkovitch redevint pensif, il repensait à sa vie écouler et n'y voyait rien de très réjouissant. Il se dit que faire des efforts ne serait pas de trop. Lui aussi aurait aimé fonder une famille.

Tu m'emmèneras à ton domicile après que l'infirmière finisse ce qu'elle est en train de faire. Je suis fatigué et j'ai besoin de repos, on verra cette histoire plus tard.

[MJ ON]


De Vito se contenta d'acquiescer à la demande Ditkovitch. Il n'avait pas la tête à faire la morale à son vieil ami Russe.

J't’emmènerais , ne traîne pas . J'ai des tas de choses à faire ...
Maintenant, j'ai cette discothèque à ma charge et il faut que j'évite de trop m'absenter ou dumoins de m'absenter trop longtemps.

Je t'arrête tout de même, il y a longtemps que le trafic d'armes s'est développé. C'est fini le temps ou tu contrôlais toute la zone des arrivages, maintenant, il y a des tas d'autres gérants et le marché s'est développé à grande échelle sur New York. A présent, c'est tout un réseau qui se développe ... Il faut que tu prennes conscience de ceci. L'influence est gigantesque mais ça reste tout de même les Russes qui possèdent et contrôlent la plus grande partie du commerce d’armes.
Et ... pour en venir à mon domicile ... comment dire, ce n'est plus le mien. Enfin si, c'est le mien ! Mais je l'ai partagé ... Je m’explique, comme j'avais besoin d'un peu d'argent de poche ces derniers temps, j'ai loué certaines parties de la maison à des colocataires ce qui fait que je ne possède plus qu'1/4 de la baraque .
J'espère que tu trouveras tes aises dans les quelques 40m2 restants...

Sur le coup, de Vito parut désolé de cette situation assez embarrassante. Si Ditkovitch devait trouver repos et séjourner chez lui, il fallait qu'il ait un minimum vivable. Et cela l'embêtait d'avoir loué ainsi une partie de sa maison. Il ne se sentait plus du tout chez lui.
De plus, il n'avait plus besoin de cet argent maintenant qu'il possédait cette immense discothèque en collaborât.


[MJ OFF]


Edit Boss d'Harlem : A l'avenir , Ditkovitch , évites de corriger mes fautes si c'est pour en rajouter ...

[MJ ON]

[HJ: Je vais te redire ce que je t'ai déjà dit précédemment, tu ne peux pas jouer ces personnages et leurs réactions : De Vito et l’infirmières. C'est le travail des Maîtres de Jeu. Tu ne dois jouer que ton personnage. HJ]

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De Vito fit alors le trouble jeu en tirant Ditkovitch par le bras , l'écartant ainsi de l'infirmière . Il le prit à part :

Nan mais ça ne va pas toi ... Courtiser cette femme. Bon, allons chez moi. Nous n'avons que trop traînés ici.

L'infirmière partit , toujours sans dire un mot , vers sa voiture . De Vito et Ditkovitch firent de même .

Une fois da la voiture, De Vito prit une certaine liberté de parole qu'il n'aurait eue en présence de l'infirmière :

Je te l’accorde, cette femme est très belle mais derrière cette femme ingénue et innocente se cache un sévère vice : elle n'est pas stable et me trompais pour un autre . Qui te dit qu'elle ne fera pas pareil avec toi ?
Ce rendez-vous galant ne mènera à rien . C'est le genre de femmes qui a besoin de se faire impressionner et pour ça ... hé hé ... il te faut du pognon. Et d'après les rumeurs, l'argent te manque . Les jours sont difficiles mais je veux bien t'aider après tout. Je te cède mon chez moi et 5000$ , ca te va ?

De Vito avait démarré la voiture et se rendait en direction de Tribeca , quartier distingué et très bien fréquenté .

Oui , je ne vais pas pouvoir rester avec toi . J'ai des affaires à régler ... et les affaires , ce sont les affaires ...
Enfin , tu sais ce que c'est ?

De Vito eut un petit rire nerveux.

Nous sommes presque arrivés. Ah ... et surtout, ne fais pas attention aux locataires . Ce sont des New-yorkais de bonne famille . Il ne faut pas les déranger ... Ils sont trop bien élevés ces bourges ...
Je me demande ce qui m'a prit de leur céder une partie de ma maison. Raaa ... Si je n'avais pas eu ses problèmes financiers il y a un an , je n'en serai pas là .

De Vito arriva alors dans son quartier.

Arrivée à Tribeca


[HJ: Tu postes et puis après ca se passe à Tribeca HJ]

[MJ ON]

=> 5000 $ ajoutés dans ton profil

A ce moment là , De Vito ne put se contenir . Il pouffa d'un rire bien gras et lourd .

Mais , mon pauvre Ditkovitch , te rends-tu compte de ce que tu viens de dire ? On aurait dit un desespéré qui s'arrange avec sa raison !

Puis , voyant que cet humour quelque peu déplacé ne plaisait pas vraiment au Russe , De Vito préféra en rester là . Il regagna alors son sérieux :

Non , ils ne jouent pas encore au golf ... Ha ha ha ! Sacré Ditkovitch , va ! Avec le temps , je pense que tu vas t'y faire . Ce ne sont que des humains après tout ... bien que parfois je me poses des questions .

Ah ! Et surtout , si tu as besoin de quelque chose , appelle-moi ! Je vais m'informer sur ta villa et ce qu'il en devient .

Après ces quelques mots , De Vito s'appreta à partir à moins que Ditkovitch n'ait quelque chose d'autre à lui dire .


Suite du Rp => TRIBECA


[MJ OFF]